par Ashlee Vance
Le parcours de certaines personnes est une véritable source d’inspiration et de motivation. C’est pourquoi, de temps en temps, j’aime lire la biographie de personnalités d’exception : mieux que n’importe quelle fiction, elles illustrent jusqu’où peut mener la capacité à sortir de sa zone de confort, à surmonter l’adversité, à avancer même quand plus personne ne vous suit et finalement à réinventer le monde parce qu’on croit en nous et en nos rêves jusqu’au bout.
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir la biographie d’Elon Musk par Ashlee Vance. Je l’ai écoutée en audio livre et, en fermant les yeux, je me croyais parfois dans la quatrième dimension ! Car voilà bien un personnage d’exception !
Car Elon Musk ne sort pas seulement de sa zone de confort, il change les règles du jeu ! Voilà le résumé présenté par l’éditeur de sa biographie : « Largement considéré comme le plus grand industriel du moment, il porte l’innovation à des niveaux rarement atteints au point d’avoir servi de modèle pour Tony Stark, alias Iron man. À 45 ans, il a monté en quelques années une entreprise, Tesla, qui révolutionne l’industrie automobile, une autre, SpaceX, qui concurrence Arianespace. Il a auparavant bouleversé le marché des paiements avec PayPal. Son objectif ultime : coloniser Mars. Ashlee Vance nous conduit au plus près d’Elon Musk. Il montre toute l’intensité de cet homme, son génie tumultueux, sa folle exigence envers lui-même et ses équipes, depuis son enfance agitée en Afrique du Sud jusqu’à ses incroyables innovations techniques et réussites entrepreneuriales. À travers ce portrait d’un des titans de la Silicon Valley, ce livre met au jour les mutations rapides et inéluctables de nos modèles industriels. Car ce ne sont plus seulement des réseaux sociaux ou des messages en 140 signes qui sont proposés par cette nouvelle économie, mais des voitures, des trains, des fusées. Visionnaire ? Mégalomane ? Elon Musk dessine en tout cas les contours du XXIe siècle. »
NB : si vous préférez la version originale en anglais, c’est ici